mercredi 5 avril 2006

TGV

Le TGV dans un moment... A peine un frisson à 300 km/h. Ca dure une heure. Ensuite ça se poursuit à 200 km/h jusqu'à Bordeaux. Traversée de la Garonne sur le pont Eiffel. Puis c'est les Landes rectilignes et au bout des Landes, la mer.

Ces voyages sont des moments silencieux : il est rare que les gens se causent. Quelquefois des enfants jouent et de bébés pleurent. Le train est souvent plein: c'est une affaire qui roule.

J'ai voyagé une fois à quelques sièges du maire de Paris qui partait se reposer à la suite du coup de couteau qu'il venait de recevoir.

Je vois parfois, au passage, la statue de l'île de Pâques, grandeur nature, que quelqu'un a édifié près de sa maison à la campagne, ou bien le phare breton avec son gigantesque drapeau qui flotte à l'entrée de Paris. Il y a de beaux châteaux à partir de Poitiers...

La France est souvent belle vue du train. Ses paysages enchantent...

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