samedi 10 juillet 2010

37,2 l'après-midi

Je ne sais pas où en est le Bettencourt-Woerth-Sarkozygate. Il doit se passer des choses intéressantes: des policiers fouillent partout. Que vont-ils nous trouver? La France attend, mais là je zappe: il fait vraiment trop chaud pour essayer de s'intéresser à quelque chose. Même le tour de France, spectacle du bonheur champêtre et touristique, fatigue à le regarder à la télé: les paysages n'ont qu'à rester là où ils sont, et les cyclistes qui les traversent feraient mieux de se mettre à couvert.
Non, il ne faut rien faire par ces 37,2 degrés à l'ombre, rester chez soi. Oser la gravière, comme je l'ai fait hier, ne peut se tenter qu'avec discernement en prenant bien soin de se rafraîchir périodiquement dans une eau qui est délicieuse mais non surveillée: une pancarte d'ailleurs interdit, en deux langues, de s'y tremper. J'ai violé la loi du coup et quelques témoins-complices, puisqu'ils en ont fait autant, pourraient noter ce fait dans un carnet qui pourrait être retrouvé dans quelques années à la suite d'une perquisition de la police. Le gravièregate: je tremble...

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