samedi 11 février 2012

Au planteur et aux plantés....!

Ce qui est bien, avec la candidature prochaine du N_in, c'est que je vais pouvoir recycler un tas de posts. J'ai ouvert ce matin celui-ci intitulé "poil au cul" du 6 février 2007 qui annonçait déjà le jour où il essaierait de donner la présidence de l'Epad à son fils bien aimé, et ma foi, pour dire vrai, ce que j'avais écrit à l'époque m'a fait rire aujourd'hui...
De même cette photo copiée sur le site des jeunes s_arkozystes le 22 septembre 2009, et qui, si ça se trouve, y est encore..


Elle annonce le futur référendum qu'on nous promet si ce cas social est réélu...

Celle-ci, trouvée quelque part sur le net le 29 septembre 2009 qui préfigure l'état de la France d'aujourd'hui qui montre bien qu'on savait déjà qu'il allait se planter avec sa politique d'enfant gâté...

Bref, tous les plantés qui diront qu'on ne les avait pas prévenus n'auront aucune excuse...

Parmi les nouvelles d'aujourd'hui, j'ai trouvé celle-ci: la justice belge a refusé, vendredi 10 février, d'interdire la commercialisation de la bande dessinée Tintin au Congo, estimant non fondée l'action intentée par un ressortissant congolais qui jugeait l'œuvre d'Hergé raciste. Les juges ont bien raison. On ne va pas réécrire toute l'histoire tout le temps et le crétin qui a brûlé la bibliothèque d'Alexandrie pour effacer un passé qui ne lui convenait pas, a privé l'humanité d'une part majeure de sa mémoire.
On peut toujours voir cette devanture, rue Montorgueil à Paris. Ben, oui, et après? L'histoire ne se réinvente pas...

3 commentaires:

  1. Superbe décoration. Je suppose qu'il s'agissait d'un marchand de café.
    Je suis d'accord avec toi pour l'histoire, la falsifier ne sert à rien, il faut pouvoir la regarder en face.

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  2. "Au planteur" serait l'enseigne d'un ancien marchand de café. Elle est classée. Elle se trouve en fait 10-12 rue des Petits-Carreaux ( on quitte la rue Montorgueil sans s'en rendre compte).
    L’enseigne “Au Planteur “, au n° 10 de la rue des Petits Carreaux, est un panneau de carreaux décoré
    d’une scène exotique d’inspiration coloniale; elle est signée d’un certain Crommer.Au rez-de-chaussée de
    l’immeuble il y avait un marchand de café, de chocolat, de rhum… et aussi un bar; une carte postale de
    1910 le montre avec tout le personnel. La façade possède une décoration de bois sculptés, très proches de
    ceux de la Pharmacie Moderne, située en face, et sont donc probablement plus que centenaires. (Extrait d'articles qui lui sont consacré)

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  3. Merci pour les renseignements,RPH, je réverais d'aller prendre un café dans un endroit pareil.

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