vendredi 4 août 2006

Pénisculaire

Parmi les nouvelles du monde qui parviennent à franchir les murs protecteurs de ma clôture, celle -ci:

"L'Australien Tim Patch est la nouvelle coqueluche de la Sydney Sexpo, ouverte jeudi. Non pas qu'il ait un talent particulier, ni que ses toiles soient d'une originalité remarquable, mais c'est qu'il a choisi pour pinceau... son pénis. Père de quatre enfants d'allure modeste et plutôt timide, l'artiste a embrassé la carrière de peintre pénien à la suite d'un défi lancé par une amie, lors du dernier réveillon de la Saint-Sylvestre dont il ne dit pas s'il fut arrosé.(...)

Au début, j'étais gêné", se souvient-il tout en entamant devant une foule de badauds le strip-tease qui marque rituellement le début de ses spectacles: laissant tomber un long imperméable d'exhibitionniste, il se dévoile nu comme un ver. (...)

A 300 dollars le portrait (200 USD), il a en tout cas réussi à améliorer son ordinaire. "Mais je dois encore travailler un peu dans le BTP", regrette-t-il. Il compte cependant sur la Sydney Sexpo et ses 55.000 visiteurs annoncés pour doper les affaires. Durant les quatre jours de cette "foire du sexe", il offre un "spécial" à 75 dollars la toile."

Le pauvre, s'il donne des coups de pinceau trop violents, emporté par la passion créatrice, il risque une fracture de l'os pénisculaire, comme on peut le voir sur cette radiographie...

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